Certes, on ne peut pas aller à
Ars sans visiter la maison du saint curé. C’était la troisième fois que j’y
suis entré, mais chaque fois je m’impressionne de son austérité et la
simplicité de sa vie.
Je crois que c’était sur ce lit
que le curé est décédé, épuisé par son travail sans relâche.
Dans la prochaine pièce on peut
regarder quelques choses qui appartenaient au saint, y compris quelques-uns de
ses vêtements.
La cuisine nous donne une bonne
impression de sa vie quotidienne. Ici il a bouilli ses pommes de terre, un jour
chaque semaine… et ils l’ont mangés pendant les prochains jours.