La Saint Sylvestre

Il est le 366^ème – et, bien sûr – le dernier jour de 2012. En France ce jour s’appelle la « Saint Sylvestre », grâce au fait que c’est aussi la fête de ce pape du quatrième siècle. Sylvestre était l’évêque de Rome juste après la conversion de Constantin, donc pendant une époque très importante dans l’histoire de la sainte Église. Pendant sa papauté ont été construits les premiers exemplaires de plusieurs grandes églises de Rome : Saint Jean Latran, la basilique de Saint Pierre au Vatican et l’église de Sainte Croix au Jérusalem. Alors, à la fin de 2012, j’espère que tous mes lecteurs ont passé une très bonne année, et je retournerai l’année prochaine !

La sainte Bible

Pendant toute l’année je lis l’ancien testament (j’en ai fait mention il y a plusieurs mois : cliquez ici). Demain, je termine ce grand projet, quand je lirai le dernier livre, celui du prophète Malachie. Ayant lu le nouveau testament en 2011, pour la première fois j’aurai lu la totalité de la sainte écriture, pendant deux ans. J’ai appris beaucoup, je crois, surtout sur l’histoire du peuple de Dieu et de son alliance avec le Seigneur. Parfois il s’agissait des travaux forcés (pas tous les chapitres ne sont faciles à lire, ni très intéressants !) mais je suis heureux de l’avoir fait. L’année prochaine, des projets moins grands !

Saint Thomas de Cantorbéry

29 décembre, le cinquième jour de l’octave de Noël, l’Église célèbre la fête de Saint Thomas de Cantorbéry, évêque du douzième siècle qui fut martyrisé dans sa cathédrale en 1170. Après de nombreuses disputes avec le roi Henri II, et des périodes d’exil en France, Thomas a été assassiné le 29 décembre – exactement il y a 842 ans.

La cathédrale de Cantorbéry n’est plus catholique – il devint église anglicane lors de la Réformation anglaise. Elle reste l’église principale de la communauté anglicane, et bientôt elle sera le siège de son nouveau leader, Justin Welby. Il hérite beaucoup de problèmes.

Dans la cathédrale, une inscription rappelle à la fois le martyre de Saint Thomas et la visite du Bienheureux pape Jean-Paul II en 1982.

La neige en France

Un ami m’a envoyé cette belle image de Lyon dans la neige pour me souhaiter un joyeux Noël. Tout comme on imaginerait, la ville de lumière est très bien illuminé pendant l’hiver (il y a, vous le savez, une fête de lumière le 8 décembre tous les ans) et l’illumination de la cité de Gones semble même plus belle dans la neige. Je ne pense pas qu’il y a beaucoup de neige en France actuellement, mais je me souviens de l’année dernière, lors des petites vacances à Nice en février, il y avait de la neige sur les collines autour de la ville. Un garçon à l’hôtel la disait « très rare ». Je serai encore une fois à Nice en février prochain.

Les cadeaux de Noël

Cet an, comme tous les précédents, je suis très heureux de recevoir beaucoup de cadeaux fantastique, grâce à la générosité de ma famille et mes amis. Des CDs, des livres, un DVD, beaucoup de vin et de chocolats (dont quelques-uns ont déjà disparu !), des jeux, une bouteille de pastis (mon apéritif préféré !) et plusieurs autres choses. Le plus grand surpris, c’est une photo de Jean-Éric Vergne, signée par le pilote français. Elle le montre juste après sa victoire dans le championnat Formule 3 de Grande Bretagne en 2010. Il est étrange d’avoir l’autographe d’une vedette F1 ! Merci à tous pour mes beaux cadeaux – c’est vraiment sympa.

Le premier martyre de l'Église

Sauf qu’il soit le dimanche, le lendemain de Noël est toujours la fête de Saint Étienne, premier martyre chrétien. Étienne était parmi les premiers sept diacres de l’Église, qui ont consacré leurs temps à la charité. Certes, il était aussi prêcheur, comme nous enseigne les Actes des Apôtres, où se trouve le compte de sa mort. Lors de sa passion, il a prié « Seigneur Jésus, reçois mon esprit », et « Seigneur, ne compte pas ce péché contre eux », faisant écho des mots de Jésus sur la croix. Sur la belle image ici, on peut voir Étienne lors de sa lapidation, habillé comme diacre (il porte une dalmatique). Bonne fête aux Étiennes du monde !

Le Seigneur est né!

C’est le jour de Noël, quand l’Église célèbre la naissance du Seigneur à Bethléem, il y a plus de deux mille ans. Jour de grande fête pour tous les chrétiens, il est également jour où se rassemblent les familles. Donc, je passe la journée avec ma famille, pas loin de Blackpool où j’habite. Pour moi, c’est aussi un jour de repos après les événements nombreux et le travail de ces derniers jours, et surtout après la messe de minuit. Je suis fatigué ! Mais, à la paroisse, je pense que tout s’est bien passé, et les jours prochains devrait être plus calme. Joyeuse fête à tout le monde !

Le cantique de Zacharie

Il est le dernier jour de l’Avent, saison de préparation pour la venue de notre Seigneur Jésus Christ, et on va bientôt célébrer sa naissance. A la dernière messe de cette saison, l’Église se souvient du cantique de Zacharie, père de Saint Jean-Baptiste. Quand il a chanté le cantique, il venait de retrouver sa voix après avoir été fait taire par l’ange qui lui a annoncé la naissance de Jean. Lorsque il retrouve sa voix, il chante du Seigneur qui « visite et rachète son peuple », une visite prédit « par les prophètes, depuis les temps anciens ». Son cantique se termine avec l’image d’un « astre d’en haut » qui se lève « pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres et l’ombre de la mort ». La Lumière du monde est bientôt ici.

Marie dans la liturgie

Aujourd’hui, le quatrième dimanche de l’Avent, c’est Marie, la mère de Jésus, qui attire l’attention de la sainte liturgie. Tous les ans, ce dernier dimanche avant la grande fête de la naissance du Seigneur, Marie prend place au premier plan des lectures de l’Évangile, toujours pour nous un modèle de foi et de fidélité à la volonté du Bon Dieu. Ce matin à la messe on écoute l’histoire de la Visitation, quand Marie est allée voir sa cousine Elizabeth, qui est également enceinte. Dès qu’elle arrive et salue Elizabeth, Jean-Baptiste, toujours dans le sein de sa mère, tressaille de joie à la venue du Messie.

Juillet 2013: mon anniversaire en Hongrie!

Juillet prochain je serai en Hongrie avec mon frère, en tant que spectateurs du Grand Prix à Budapest. Il sera ma première fois dans le pays, et je pense que la ville de Budapest est vraiment belle. L’image montre le parlement national, au bord du Danube.

Il sera également ma première fois à un événement Formule 1, donc je l’attends avec impatience ! Le jour avant les premiers essais, les stands sont ouverts au public et il y a occasion de rencontrer les pilotes. Ce jour-là sera aussi mon anniversaire !

Hier j’ai réservé nos billets, qui nous admettrons au stand « Gold 4 », à la fin du droit principal, juste à côté du premier virage. Le stand est indiqué par l’ovale rouge.

Et voici la vue que nous aurons du circuit : on pourra bien voir le droit (y compris le zone « DRS »), le virage et la sortie des stands.

Saison F1: Charles Pic

Aujourd’hui le dernier de notre petite série sur les pilotes français en Formule 1 cette année. On termine avec Charles Pic, le jeune pilote qui a passé sa première saison chez Marussia. Malheureusement, sa voiture était parmi les plus pires de la grille de départ, et Pic n’a pas marqué des points en 2012.

Malgré tout cela, il n’a fait aucune grande erreur et on est impressionné par ses prestations. Avec une meilleure monoplace, peut-être ce jeune pilote réalisera des bons résultats.

L’année prochaine il sera à l’écurie Caterham, et il est possible que sa voiture soit digne de gagner des points. On verra. Mais il est bon de savoir qu’il y aura toujours trois pilotes français sur la grille de départ en 2013 !

Saison F1: Jean-Éric Vergne

Suivant la « voie royale » de Sébastien Vettel, Jean-Éric Vergne a commencé sa carrière en F1 à Toro Rosso, écurie qui prépare les pilotes pour les champions du monde, Red Bull. À vingt-deux ans, il est le pilote le plus jeune en F1 en 2012.

Après un bon départ en Australie où il a failli marquer des points (il a perdu la dixième position au tout dernier virage du Grand Prix), « JEV » avait des soucis dans la première partie de la saison, surtout en qualification. Par contre, sans doute il promet, et il s’est enorgueilli des très bonnes prestations dans les courses.

Quatre fois il a terminé en huitième position, marquant au total seize points (six de plus que son équipier, l’Australien Daniel Ricciardo), malgré une voiture peu vite.

Il a pu avoir de plus : il avait une bonne occasion de marquer des points en Singapore, avant que Michael Schumacher l’ait harponné !

Saison F1: Romain Grosjean

Après plusieurs saisons de Formule 1 sans un pilote français, en 2012 il y en avait trois, et aujourd’hui le blog commence une petite série de messages qui passent en revue leur succès. D’abord, Romain Grosjean, pilote de Lotus Renault. Sans doute il est vite – il a qualifié en troisième place pour le premier Grand Prix, à Melbourne, et il avait du succès dans les courses, surtout au Canada, où il a terminé deuxième.

Pour autant, sa saison était gâchée par un nombre d’accidents au premier tour des courses, notablement en Belgique. Il a été jugé responsable de ce chaos au premier virage : résultat, il a subi un interdit d’une course.

Deux autres photos de cet accident, sur lesquelles on peut voir le Lotus passant sur le Ferrari de Fernando Alonso. Voyez une vidéo de l’accident ici.

Slam!

Lors des vacances j’ai découvert une émission très amusante à la télé. « Slam », diffusée par France 3 tous les après-midis, est une émission jeu. Les concurrents doivent répondre aux questions (de vocabulaire, autographe, culture générale…). Chaque question a pour réponse une lettre de l’alphabet…

… qui est ensuite ajoutée à une grille. Puis, ils doivent remplir la grille avec l’assistance des définitions.

Mais, lorsque la grille est presque complète, il est possible de « slamer » - autrement dit, de remplir la grille entière sans l’aide des définitions, devinant les mots des lettres qui sont déjà sur la grille.

Après le jeu, il y a un concours pour les spectateurs et on peut tous slamer sur France3.fr !

Ils sont fous, ces Anglais!

Pendant les grandes vacances de l’été, j’ai acheté à FNAC (c’est mon magasin préféré en France !) un livre qui s’appelle « Ils sont fous, ces Anglais ». Il s’agit d’aspects curieux de la société et du caractère britannique. L’auteur, le journaliste français Christian Roudaut, aborde les choses qui lui semblent étranges dans le Royaume-Uni (il habite à Londres depuis plusieurs ans), y compris l’amour des britanniques pour la famille royale, les droits de l’animaux, le pariage, le football, le « scoop à tout prix » et, certes, l’entente « glaciale » avec nos voisins au-delà de la Manche. Humoristique, pénétrant et vraiment intéressant pour un Anglais, je recommande ce livre à tous !

Le retour de Lyon

Une inscription en haut de la tour de Pérouges indique la direction de Lyon. Et ce message indique la fin de notre voyage à Lyon sur le blog.

Pendant trois mois, j’ai présenté ici beaucoup de mes photos des grandes vacances (oui, il y en a de plus !) et un commentaire sur la ville de Lyon et les autres lieux que nous avons visités.

Certes, Lyon est grand, agréable, charmant, et il vaut la peine de le visiter !

Après presque deux semaines dans la cité des Gones, c’était le retour à son aéroport.

Et voici notre petit avion, celui qui nous a amené à Manchester et la vie quotidienne. N’inquiétez-vous pas : j’ai pas mal de choses intéressantes à présenter sur le blog dans les jours suivants, et il ne reste que sept semaines avant mon retour en France !

Le jardin des ducs

Je confesse que je ne sais pas grand-chose au sujet des jardins. Lors de mon enfance j’ai essayé de soigner plusieurs plantes dans le jardin de ma mère, mais sans beaucoup de succès. Cependant, je voudrais vous présenter aujourd’hui des images du jardin à côté de la maison des ducs de Savoie, celle que j’ai présentée hier.

Les haies sont très nettes, et très bien soignées. Elles forment un motif symétrique.

Malgré qu’il ne soit pas très grand, le jardin est vraiment agréable. Aux murs, le lierre grimpe.

Peut-être on peut l’apprécier mieux depuis la tour, avec une vue d’en haut, qui bien montre la symétrie des motifs.

La maison des ducs

Le bâtiment qui abrite le musée de vieux Pérouges est lui-même un objet d’intérêt historique. Autrefois il était la maison des ducs de Savoie, et en tant que tel il a une grande importance dans l’histoire pas seulement de la ville, mais aussi de la région.

Une inscription rappelle que, après les ducs y ont habité, la maison est devenue la résidence de leurs châtelains, dont plusieurs noms sont donnés. Selon moi, il est intéressant que le bâtiment du musée fasse partie de l’exposition.

Peut-être une vue peu changée depuis l’ère des ducs. Depuis leur jardin ils ont dû regarder la rue, par la porte, comme montre cette photo.

Le cadran solaire

Au sein de Pérouges, dans la place du Tilleul et au mur d’un bâtiment, se trouve ce cadran solaire. Dans l’ère de montres numériques, un ancien moyen de marquer le temps provoque toujours d’intérêt, même s’il n’est pas trop utile. Mais ce cadran reconnait ses limitations, qui y sont inscrit. « Je ne te marquerai que l’heure des beaux jours », annonce-t-il. Autrement dit, s’il pleut, ou s’il y a des nuages – ou même si il fait nuit ! – je ne marche pas. On peut voir sur l’image que ce jour-là n’était si beau, donc le cadran ne marcherait pas pendant notre visite.

Belles images de Pérouges

Aujourd’hui, quelques images de Pérouges qui m’intéressent. Chacune, je crois, a sa propre beauté. D’abord, un bâtiment à charpente de bois dans la place du Tilleul.

Cette image montre un magasin où on peut acheter des galettes de Pérouges. Elle présente le visage typique du commerce du village.

Ici, la lumière met l’accent sur les pavés rond de la rue.

Depuis la tour du musée, une vue des toits des bâtiments qui l’entourent et la campagne au-delà des murs du village.

Et encore une image semblable !

J’aime cette photo des toits. Je pense que tous les bâtiments de Pérouges ont été construits utilisant les matériaux du terroir.