mardi 31 juillet 2012

Lisieux: l'ancienne cathédrale


Lors de ma visite à Lisieux en 2008, la fenêtre de ma chambre donnait sur cette vue. C’est la façade de l’église St Pierre, qu’on appelle la « cathédrale » de Lisieux, bien qu’elle soit l’ancienne cathédrale. Aujourd’hui Lisieux fait partie du diocèse de Bayeux, où se trouve le siège de l’évêque.


L’édifice est bien impressionnant, grâce à sa nef magnifique et un mélange curieux de styles d’architecture. Dans son enfance, Thérèse était paroissienne ici. C’était ici qu’elle a reçu le saint sacrement pour la première fois, et ici qu’elle a travaillé comme sacristain avant son entrée dans le carmel.


Les jardins de l’ancien évêché se trouvent à côté de la cathédrale ; autrefois l’évêque habitait dans la grande maison visible sur l’image.

lundi 30 juillet 2012

Lisieux: le carmel


C’était ici que la jeune Thérèse a passé la plupart de sa vie, au carmel de Lisieux. Elle y est entrée lorsqu’elle avait quinze ans, après avoir reçu une dispensation, qui était nécessaire à cause de son jeune âge. Aujourd’hui cette statue veille sur le monastère, la façade baroque de sa chapelle à l’arrière-plan.


Malheureusement la chapelle est, à l’intérieure, assez moderne, et pas comme Thérèse l’aurait connue. Je pense qu’elle a été endommagée pendant la guerre et ensuite reconstruite dans son style actuel.


Juste à côté de la chapelle, et à deux pas de la résidence des sœurs où Thérèse habitait, les restes mortels de la sainte se trouvent au-dessous d’une effigie qui la représente.

dimanche 29 juillet 2012

Sainte Thérèse: le voyage romain


Voici quelque chose qui m’intéressait lors de ma visite à la basilique de Lisieux : une petite exposition qui raconte l’histoire de la visite de Sainte Thérèse à Rome. Elle avait quatorze ans quand elle y est allée, et, comme sait beaucoup du monde, elle a rencontré le pape et lui a demandé de la laisser entrer au carmel.


Selon moi, cette photo a été particulièrement intéressante, puisque elle montre la basilique de Notre Dame de la Garde à Marseille, que j’ai visitée l’année dernière (en souvenez-vous en cliquant ici). Thérèse l’a visitée en route entre Rome et la Normandie. Il y a là une petite commémoration de sa visite.


Je constate qu’elle a passé également par Lyon. J’ai la même intention…

samedi 28 juillet 2012

Les J-O commencent!


Juste une petite pause – on retournera à Lisieux demain – pour présenter quelques images de la cérémonie d’ouverture des J-O de Londres, qui a eu lieu hier soir. Le spectacle était censé d’exhiber le Royaume-Uni, sous la houlette de réalisateur Danny Boyle.


Après une présentation de la verdure du paysage anglais, l’histoire a montré les changements énormes qui étaient résultat de la révolution industrielle.


Les ouvriers ont forgé les anneaux olympiques, qui ensuite étaient levés au-dessus du stade.


Après plus de deux heures et demie, sept jeunes athlètes anglais ont allumé la vasque olympique, la flamme ayant voyagé environ 20 000 kilomètres pendant plus de dix semaines.


La reine a prononcé ouverts les Jeux olympiques de Londres 2012, et, avec un feu d’artifice pour signaler la fin de la cérémonie, on attend l’action sportive…

vendredi 27 juillet 2012

Bienheureux Louis et Zélie Martin


Quand j’étais à Lisieux il y a quatre ans, ma visite a eu lieu quelques semaines avant un grand événement : la béatification de Louis et Zélie Martin, les parents de Sainte Thérèse. Alors, cette fois peut-être la plus grande différence que j’ai constatée dans le sanctuaire était le reliquaire contenant les reliques des bienheureux, qui actuellement se trouve dans la crypte de la basilique.


Au mur de la clocher devant la basilique il y a des grandes images de cet homme et cette femme, qui sont le premier couple marié qu’on a béatifié ensemble.


Devant le reliquaire on a allumé des cierges, tout comme près des reliques de Thérèse dans la basilique au-dessus.

jeudi 26 juillet 2012

Lisieux: la basilique


À deux pas du cimetière, la grande basilique de Lisieux domine la ville. Voici la vue de l’église que j’ai eue quand j’y suis arrivé.


Cet édifice magnifique est l’une des plus grandes églises construites dans le monde pendant le vingtième siècle. Elle a sa propre histoire miraculeuse : elle a été sauvée des bombardements qui ont détruits une grande partie de la ville, grâce à l’intervention d’un officier de l’armée britannique.


Par les arches à côté de la basilique on a une belle vue de l’ancienne cathédrale de Lisieux.


Ce que j’aime surtout, c’est cette inscription à la façade de l’église : « Car quiconque s’élève sera abaissé et quiconque s’humilie sera exalté ». Ces mots du Seigneur sont en quelque sorte la « raison d’être » de ce bâtiment impressionnant.

mercredi 25 juillet 2012

Lisieux: le cimetière


Aujourd’hui sur le blog je commence à présenter mes photos de mon séjour à la ville thérésienne. C’était vendredi matin et j’ai quitté l’hôtel pour marcher au centre-ville – à distance de trente minutes à pied – et en route j’ai passé le cimetière de Lisieux. C’est un lieu qui m’intéresse, parce que c’était ici que l’histoire de Thérèse en tant que figure public a commencé.


Enterré ici devant une petite assemblé d’à peu près vingt personnes, le corps de Thérèse est resté ici jusqu’à sa béatification. Les premiers pèlerins, qui ont lu son histoire autobiographique, sont devenus ici pour visiter sa tombe. Ici se sont passés les premiers miracles. J’aime bien cette photo, car ici on peut voir le cimetière où Thérèse a été enterrée, et la basilique qui a été construite en son honneur.


Aussi dans le cimetière, les tombes des guerriers français et anglais qui ont été tués dans la guerre des années 39-45.

mardi 24 juillet 2012

L'arrivée en France


La météo toujours agréable, on est arrivé en France. Sur la plage tout près d’Ouistreham, les gens profitaient du soleil pour se bronzer ou pour faire la planche à voile.


La passerelle nous attendait pour être notre lien entre le bateau et la terre.


Le phare et l’estuaire de la rivière sont partie de la belle vue qui nous a accueillis.


Sur les pierres à l’autre côté du port, des pêcheurs se sont rassemblés pour découvrir s’ils avaient de la chance.


Et finalement, plus de vingt quatre heures depuis j’ai quitté la maison, j’étais en France. Un bus m’a amené à Caen, et puis j’ai pris un train à Lisieux. Et après une longue marche de la gare, je suis arrivée à l’hôtel où je logerais les nuits prochaines.

lundi 23 juillet 2012

La traversée de la Manche


Après avoir parti de Portsmouth sous les nuages, j’ai fait un somme dans ma cabine et puis je suis retourné au pont supérieur, où j’ai découvert que le temps faisait tellement mieux. Ciel bleu, beaucoup de soleil… malgré que sur la mer il y a toujours du vent et donc il ne sentait pas très chaud.


À la derrière de nous,  l’eau perturbé qui a laissé une trace vers le Royaume-Uni.


La traversée durait environ six heures : beaucoup de temps pour dormir, prendre un repas, visiter les magasins à bord le vaisseau et admirer la vue de la mer.


Sur le pont, un nombre de gens profitait du soleil.


Ce que j’ai trouvé remarquable ce jour-là, c’était le calme de la mer. Incroyable! À l’arrière-plan de l’image, la première vue de la France…

dimanche 22 juillet 2012

Le départ de Portsmouth


Quelques minutes en retard, le ferry a quitté les docks et commencé son voyage. Le chenal entre le mouillage et la Manche est assez long, prenant peut-être une demi-heure pour atteindre la mer ouverte.


Pendant le passage on a des belles vues de l’ancienne ville de Portsmouth…


… y compris les ouvrages défensifs de jadis.


Près du port, j’ai vu ce navire à voiles, une chose peu commune de nos jours, mais intéressante à voir. À l’arrière-plan de cette photo, l’Île de Wight.


Et, la ville toujours visible derrière le ferry, on commence sa traversée de la Manche. Au revoir, Angleterre !

samedi 21 juillet 2012

Portsmouth: navires historiques


Lors du départ de Portsmouth on pouvait voir plusieurs navires historiques, tels que HMS Victory, le vaisseau amiral de Nelson à la bataille de Trafalgar en 1805. Même de nos jours il est bateau impressionnant, malgré qu’il reste immobile, entouré par la base navale du Royal Navy.


Il est peut-être plus triste de voir un grand navire qui est en train de devenir bateau historique : HMS Illustrious, célèbre porte-avions qui a été retiré de la circulation en tant que partie des mesures d’austérité, est également immobile.


Son nom toujours visible, le navire appartient actuellement du passé, mais sa fin signifie le début d’une nouvelle époque de coopération entre les marines britanniques et françaises. Je me demande ce que Nelson y aurait pensé !


L’échafaudage bien visible, les ouvriers font leur travail : soit réparer, soit démonter ce navire tout près de l’Illustrious.

vendredi 20 juillet 2012

Portsmouth: au port


Il était et le nom du bateau et sa destination : le vaisseau qui m’a apporté en France s’appelait « Normandie ». Il est vu ici dans les docks de Portsmouth avant le voyage.


Quelques minutes avant, j’ai embarqué le ferry par la petite passerelle qu’on peut voir dans la photo.


Dès que je l’avais embarqué, j’ai retrouvé ma cabine et j’y ai laissé ma valise et mon sac-à-dos. Plus tard j’y suis retourné pour un peu de sommeil !


Et, après avoir me débarrassé de mes bagages, je suis allé au pont supérieur pour regarder les véhicules qui entrait dans le bateau…


… pour voir les autres vaisseaux dans le port, tels que celui-ci, un catamaran de Brittany Ferries.


Sur la passerelle de commande, les derniers contrôles avant le départ…

jeudi 19 juillet 2012

Une trouvaille à Portsmouth


Une trouvaille très satisfaisante ce soir-là à Portsmouth : je faisais un tour du vieux quartier de la ville quand j’ai constaté une plaque au mur de cette maison. En la lisant j’ai découvert qu’il était ici que George Villiers, duc de Buckingham, a été assassiné par John Felton en août 1628. Bien sûr, l’événement lui-même n’était pas une chose agréable, mais pour moi la trouvaille était intéressante parce que j’ai entendu parler de ce meurtre quand j’ai écouté Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas. Tandis qu’il écrivait une œuvre de fiction, il a inclut cet événement réel en tant que partie de son histoire, même si il a inventé le mobile du crime !